Longtemps associée à une « fuite des cerveaux », la diaspora africaine se révèle, au contraire, être un puissant vecteur de développement pour le continent.

Cette diaspora qui sont les ambassadeurs de notre continent constitue un vivier de talents, de compétences, de chefs d’entreprises, de consommateurs, de donneurs d’ordres aux familles, et d’investisseurs, mais des investisseurs qui s’ignorent.

L’impact des actions de la diaspora africaine a longtemps souffert d’un manque de coordination, tiraillée entre :

• S’implanter dans les Pays d’accueil et rentrer au pays
• Tiraillée entre les exigences des diasporas 1er génération et les attentes des 2e et 3e génération
• Tiraillée entre La Vision des diasporas venues se former et celle de diasporas de l’immigration économique ou des réfugiés.

Estimé à plus de 7 millions en Europe, il devient capital de bien comprendre les attentes, les spécificités de cette diaspora et de repenser le modèle de fonctionnement de la diaspora vis à vis du continent, afin d’être plus impactant.

Comment optimiser au mieux ces apports de la diaspora ?

Au Club Efficience nous travaillons pour optimiser l’apport des diasporas au Développement de nos états en 4 points :

Les transferts de compétences au niveau RH:

• Créer une Banque de compétences : qui fait quoi et où ?
• Cartographier les compétences des diasporas dans le monde
• S’appuyer sur les pré-retraités pour le transfert des compétences

Les transferts de services ou technologiques:

• Créer une Banque de solutions techniques et technologiques
• Mettre sur pied en Afrique avec l’aide de la diaspora des pôles d’innovations afin d’acquérir des innovations adaptées à nos besoins sur le continent

Les transferts financiers: 

• Créer un Fonds d’investissements Diaspora sur le continent
• Il est fondamental de trouver des solutions endogènes de financement de nos économies en mobilisant l’épargne populaire et enfin passer des transferts d’argent au capital productif en soutien aux PMEs. 

” Nos multinationales de demain sont les PMEs d’aujourd’hui.”